La sainte colère de Jésus

La sainte colère de Jésus

Les religieux du temple de Jérusalem ont décidé de faire mourir Jésus et s'opposent systématiquement à tout ce qu'il dit. Jésus leur répond comme s'il était en colère, avec des paroles qui peuvent nous surprendre, ou même nous choquer, et pourtant…

Deux exemples :

  • Dans l'évangile de Matthieu, nous lisons : 

Les pharisiens disent de Jésus qu'il ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.

Jésus les traite alors de “Races de vipères”. (Matthieu 12.34)

  • Quelques chapitres plus loin, Jésus dit :

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites !
Parce que vous ressemblez à des tombeaux blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toutes espèces d’impureté. (Matthieu 23.29)

Comme nous l'avons déjà dit, nous désirons parler selon la vérité et sans compromis aux incroyants, quoiqu’il en coûte par rapport au regard de l’autre, à notre réputation d'évangéliste et sans peur d'être moqué et tourné en dérision.

Mais Jésus va plus loin. L'évangile de Jean nous raconte qu'il “fait un fouet avec des lanières, chasse les marchands du temple et renverse leurs étalages”. (Jean 2.15) Il est très en colère….

Cela ne doit pas nous choquer. En effet, il y a deux types de colère :

  • la colère irraisonnée qui s'empare de l'homme et lui fait perdre tout contrôle de lui-même, jusqu'à dire des choses qu'il ne pense pas et agir de façon inconsidérée et contraire à la bienséance, pouvant potentiellement mener au meurtre. 

C'est la colère qui prend possession de l'homme, c'est un grave péché.

  • la "sainte colère" qui est raisonnée et maîtrisée s’appuyant sur la justice de la Parole de Dieu.

C'est la colère que Jésus éprouve en voyant les marchands du temple ou lorsqu'il traite les pharisiens de races de vipère.

Les religieux du temple de Jérusalem ont décidé de faire mourir Jésus et s'opposent systématiquement à tout ce qu'il dit. Jésus leur répond comme s'il était en colère, avec des paroles qui peuvent nous surprendre, ou même nous choquer, et pourtant…

 

Deux exemples :

  • Dans l'évangile de Matthieu, nous lisons : 

Les pharisiens disent de Jésus qu'il ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.

Jésus les traite alors de “Races de vipères”. (Matthieu 12.34)

  • Quelques chapitres plus loin, Jésus dit :

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites !

Parce que vous ressemblez à des tombeaux blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toutes espèces d’impureté. (Matthieu 23.29)

 

Comme nous l'avons déjà dit, nous désirons parler selon la vérité et sans compromis aux incroyants, quoiqu’il en coûte par rapport au regard de l’autre, à notre réputation d'évangéliste et sans peur d'être moqué et tourné en dérision.

 

Mais Jésus va plus loin. L'évangile de Jean nous raconte qu'il “fait un fouet avec des lanières, chasse les marchands du temple et renverse leurs étalages”. (Jean 2.15) Il est très en colère….

 

Cela ne doit pas nous choquer. En effet, il y a deux types de colère :

 

  • la colère irraisonnée qui s'empare de l'homme et lui fait perdre tout contrôle de lui-même, jusqu'à dire des choses qu'il ne pense pas et agir de façon inconsidérée et contraire à la bienséance, pouvant potentiellement mener au meurtre. 

C'est la colère qui prend possession de l'homme, c'est un grave péché.

  • la "sainte colère" qui est raisonnée et maîtrisée s’appuyant sur la justice de la Parole de Dieu.

C'est la colère que Jésus éprouve en voyant les marchands du temple ou lorsqu'il traite les pharisiens de races de vipère.

 

L’homme peut éprouver quelque chose de la colère de Dieu en face du péché et des injustices humaines. La Bible ne condamne pas cette colère de l’homme devant l’égarement de ses semblables à l’image de la colère de Moïse devant l'idolâtrie du veau d’or.

 

De même Samuel éprouve une sainte colère envers Saül qui désobéit à la Parole de Dieu en agissant de sa propre autorité. De même Néhémie devant la cupidité sans limite des Juifs qui prêtent de l'argent à intérêt à leurs frères, ce que la loi de Dieu interdit.

 

Ces colères sont des "saintes colères". Elles sont justes parce qu'elles ont pour moteur la vérité, fondées sur la Parole de Dieu et pour le salut des hommes.

D'autre part, Jésus interdit à ses disciples d’anéantir les Samaritains qui lui refusent l’hospitalité parce que la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu ; c’est à Dieu seul que reviennent le jugement et la vengeance.

 

Ressentir la colère de la vengeance est un sentiment injuste qui brise et consume l'âme de l'homme. Il est possible de la dominer et y renoncer en tournant les yeux vers la croix de Jésus et en priant avec ferveur et persévérance.

 

L’homme peut aussi éprouver quelque chose de la colère de Dieu en face du péché et des injustices humaines. La Bible ne condamne pas cette colère de l’homme devant l’égarement de ses semblables à l’image de la colère de Moïse devant l'idolâtrie du veau d’or.

De même Samuel éprouve une sainte colère envers Saül qui désobéit à la Parole de Dieu en agissant de sa propre autorité. De même Néhémie devant la cupidité sans limite des Juifs qui prêtent de l'argent à intérêt à leurs frères, ce que la loi de Dieu interdit.

Ces colères sont des "saintes colères". Elles sont justes parce qu'elles ont pour moteur la vérité, fondées sur la Parole de Dieu et pour le salut des hommes.

D'autre part, Jésus interdit à ses disciples d’anéantir les Samaritains qui lui refusent l’hospitalité parce que la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu ; c’est à Dieu seul que reviennent le jugement et la vengeance.

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1 commentaire
  • rozange Il y a 1 année, 5 mois

    Comme nous l'avons déjà dit, nous désirons parler selon la vérité et sans compromis aux incroyants, quoiqu’il en coûte par rapport au regard de l’autre, à notre réputation d'évangéliste et sans peur d'être moqué et tourné en dérision. la colère irraisonnée qui s'empare de l'homme et lui fait perdre tout contrôle de lui-même, jusqu'à dire des choses qu'il ne pense pas et agir de façon inconsidérée et contraire à la bienséance, pouvant potentiellement mener au meurtre. Les religieux du temple de Jérusalem ont décidé de faire mourir Jésus et s'opposent systématiquement à tout ce qu'il dit. Jésus leur répond comme s'il était en colère, avec des paroles qui peuvent nous surprendre, ou même nous choquer, et pourtant Comme nous l'avons déjà dit, nous désirons parler selon la vérité et sans compromis aux incroyants, quoiqu’il en coûte par rapport au regard de l’autre, à notre réputation d'évangéliste et sans peur d'être moqué et tourné en dérision. la colère irraisonnée qui s'empare de l'homme et lui fait perdre tout contrôle de lui-même, jusqu'à dire des choses qu'il ne pense pas et agir de façon inconsidérée et contraire à la bienséance, pouvant potentiellement mener au meurtre. L’homme peut aussi éprouver quelque chose de la colère de Dieu en face du péché et des injustices humaines. La Bible ne condamne pas cette colère de l’homme devant l’égarement de ses semblables à l’image de la colère de Moïse devant l'idolâtrie du veau d’or. D'autre part, Jésus interdit à ses disciples d’anéantir les Samaritains qui lui refusent l’hospitalité parce que la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu ; c’est à Dieu seul que reviennent le jugement et la vengeance. Amen!!!!!!!!!!!!!