Insécurité dans la famille et avortement - N° 7

Insécurité dans la famille et avortement - N° 7

Ce texte provient d'une conférence de 2002. Le style oral a été conservé.

Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes (1 Corinthiens 1/27).

C'est dans cet esprit que j'aimerais vous parler de ce qui me paraît être une des bases de l'insécurité actuelle grandissante que nous côtoyons.
Quel rapport avec les doutes existentiels de cette génération, avec la banalisation de l'avortement?
Il n'est avant tout pas question de condamner qui que ce soit, et surtout pas de culpabiliser les femmes qui malheureusement, ont eu recours à l'avortement.
Désormais, il y a trois critères qui s'imposent pour poursuivre une grossesse. Si l'un d'eux n'est pas rempli, la femme enceinte subira de fortes pressions pour qu'elle se fasse avorter.

1- Planification
L'enfant arrive-t-il à une date qui convient au conjoint, au patron, aux parents ? La grossesse pose problème quand elle n'arrive pas au moment qui nous arrange.
2 - Qualité
Il y a une idéologie de la qualité aujourd'hui. Mon enfant va-t-il remplir les critères de qualité que j'en attends ?
3 - Economie
As-tu les moyens ? " Si tu ne les as pas, tue-le ! ". Le Conseil Fédéral de Suisse, en novembre 2000, déclarait : " Il ne faut pas exiger qu'une femme mène à terme une grossesse, lorsque l'éducation de l'enfant semble exiger des efforts insurmontables... notamment d'ordre financier (indication sociale) " (sic).

Ces trois critères nous montrent que nous sommes très loin d'une " liberté de choix ". Les femmes avortent parce qu'elles n'ont pas le choix. C'est ce que disent 90 % d'entre elles.

Message apporté lors du congrès de l''UEMP (Union Evangélique Médical et Paramédicale de France)

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7 commentaires
  • guylou1965 Il y a 14 années, 1 mois

    Chères soeurs, si par mégarde il vous arrivait d'en être là, sachez que l'avortement est un sacrifice que l'on fait sur l'autel du dieu du MOI. Car, quelque soit notre raison de le faire, le fond de notre choix est toujours l'égoïsme. C'est le Seigneur qui me l'a enseigné, pour avoir moi-même lorsque j'étais jeune femme commis cet horrible geste. Je vous en conjure vous toutes qui me lirez, ne commettez jamais cet acte. Il est possible de trouvez de l'aide, au niveau social et auprès d'une bonne église. J'ose encore espérer que quelques bons chrétiens existent toujours et accepteraient d'entourer (et aller peut-être jusqu'à héberger) une femme enceinte afin qu'elle puisse poursuivre sa grossessse. Une vie est en jeu. Dieu seul donne la vie et lui seul a le doit de la reprendre. Pour celle ayant eu déjà à commettre cet acte, je vous dis que Dieu veut vous le pardonnez le sang de son Fils a coulé afin de vous lavez des souillures du péché et celui-là n'est pas trop gros, non! car son sang est si pur que rien ne résiste à cette pureté. Tournez-vous vers lui, reconnaissez votre geste et laissez-le vous enlever cette culpabilité qui pèse sur votre conscience. Recevez son pardon et pardonnez-vous vous aussi. Merci Seigneur, car tu éloignes de nous toutes nos transgressions. Merci pour ton pardon, pour ta grâce, douce faveur imméritée. AMEN.
  • tempete Il y a 14 années, 1 mois

    L'avortement est quelque chose de terrible et bien des femmes ont été forcés par leur mari de se faire avorté, je l'ai réalisé il y a bien longtemps avant d'être convertie en étant dans une salle avec des femmes ayant subi un avortement, souvent en revenant de la salle d'anesthésie elles pleuraient ,tout cela à l'époque m'a profondément révolté...et celles aussi pour qui c'était un moyen de contraception, j'étais horrifié, bien qu'à l'époque je n'étais ni pour ni contre c'était pour moi selon la situation, bien sûr maintenant je suis contre à 100 % et si la femme ne peux pas avoir cette enfant plus tard,elle peux le donner à l'adoption ce qui fera des parents heureux et pour l'enfant un équilibre et un foyer où grandir............
  • ginlobrid Il y a 14 années, 1 mois

    chez l'africain, qui ne conçoit pas d'enfant, n'est pas femme.quand on pense au temps de nos ancêtres, ou les enfants naissaient à tout vent, et lorsqu'on retrouve dans nos villages et campagnes, une pléthore de bébés sans père, ou de père inconnu, on est revolté. Mais c'est DIEU qui confond les sages, car il surpasse toute intelligence lorsqu'il fait d'une mère de 50 ans, une future maman NOUVELLE... Le monde doit savoir que les calculs des hommes ne peuvent égaler ceux de DIEU qui a fait de nous des créatures si merveilleuse.
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