Que pourriez-vous faire de façon concrète pour atteindre les derniers rangs ?

 Bonjour Mon ami(e),

Tout petit déjà, je voulais servir Jésus. À l’âge de 12 ans, j’ai découvert que j’avais « un pain et un poisson dans mon panier ».

Lors d’un camp scout dans les Alpes françaises, j’ai donné mon tout premier sermon. Ce matin-là, au culte en plein-air, mon message portait précisément sur ce petit garçon de l’Évangile dont Dieu s’est servi pour nourrir la foule. En me « lançant » pour la première fois dans la prédication, je donnais en quelque sorte mon pain à Jésus. Depuis ce jour, il n’a cessé de le multiplier.

La même année, j’ai commencé à écrire de courtes histoires pour enfants. Elles furent imprimées sous forme de traités d’évangélisation et publiées en français et en anglais dans plusieurs magazines chrétiens (dont la revue Tournesol). J’avais trouvé un poisson dans le panier et, là encore, Dieu s’en est servi.
Pendant quelques instants, je vous invite à envisager le récit de ce miracle de façon toute différente, comme l’a décrit un évangéliste norvégien:

Jésus remplit les paniers des disciples qui se dirigent vers la foule, assise en rangées sur l’herbe. Les pains et poissons sont offerts aux personnes du premier rang. Celles des deuxième et troisième rangs reçoivent aussi leur part. Quand les paniers sont vides, les disciples retournent vers Jésus, qui, avec joie, les remplit de nouveau.

André, Philippe et les autres reprennent leur distribution. Cependant, ils recommencent à servir les trois premiers rangs plutôt que d’aller nourrir le quatrième rang et les suivants... Et le même scénario se poursuit. Pendant toute l'après-midi et jusqu'à la tombée de la nuit, seuls les premier, deuxième et troisième rangs reçoivent de la nourriture.

À votre avis, que finiront par dire ceux qui n’ont rien eu à manger ? « Et alors ? Comment se fait-il que nous n’ayons pas encore été servis ? C’est injuste ! »

Heureusement, nous savons que cette histoire ne s’est pas déroulée ainsi. Aujourd’hui, c’est pourtant cette situation que l’on constate à travers l’Église. La plupart des églises continuent de servir encore et toujours les mêmes premiers rangs alors que plus de deux milliards d’âmes, assises à l’arrière, attendent que quelqu’un vienne leur apporter le Pain du ciel. Certains estiment que 87% de l’ensemble du travail missionnaire continue de s’exercer parmi les peuples déjà maintes et maintes fois atteints.
Dieu cherche des hommes, des femmes et des enfants qui auront le courage d’apporter l’Évangile aux ethnies non encore évangélisées. À ceux des quatrième, cinquième… et jusqu’au vingtième rang.

Le pasteur canadien Oswald Smith demandait: « Pourquoi certains entendraient-ils l’Évangile deux fois alors que d’autres ne l’ont pas encore entendu une seule fois ? »

Une amie missionnaire d’origine écossaise travaille parmi les nomades au nord du Tchad. Malgré de graves problèmes de santé, elle est à ce jour l’une des rares « voix de l’Évangile » parmi quelque 250’000 musulmans. Voilà bientôt 20 ans qu’elle partage l’amour de Dieu à ceux des derniers rangs.

Ils sont des millions à ne pas connaître le message du salut. Du Tchad à la Turquie, de Lisbonne à Narbonne, ils attendent...

Je vous invite à remettre aujourd’hui votre panier à Jésus. Vous ne le regretterez pas.

Question du jour : Que pourriez-vous faire de façon concrète pour atteindre les derniers rangs ?

"A ce jour, nous faisons les démarches pour donner pleinement vie à notre projet.
Le but principal est de redonner aux personnes exclues l'estime de soi, la confiance en soi et en les autres, etc... 
Notre devise : Tu es capable & Tout est possible !
L'atelier s'appellera Rêves de CHRISTal (Christ, Christelle, Thierry et ensemble développons vos talents).
Nous avions déjà quitté notre plage, et maintenant, nous y allons en eau plus profonde.’
-‘Je sais que si je me base sur mes capacités ou sur mes ressentis je ne partirai jamais ! Dieu me parle, "va avec la force que tu as" et Josué 1 : 9, régulièrement. 
Et parallèlement les touristes de ma vie  me disent "il n'est pas encore temps, tu n'es pas prête". Mais je ne peux plus rester sans rien faire, je sens cet appel qui brûle en moi depuis des années." A.