Fausses croyances

Fausses croyances

Ma petite sœur clamait souvent : « JE SUIS LA JOLIE FILLE DE LA FAMILLE ! »

À force de l’entendre, je me suis persuadée :

1) Que je n’étais pas jolie,

2) Que les petites sœurs étaient TOUJOURS plus belles que leurs aînées.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, j’y croyais dur comme fer. En grandissant, bien entendu, je me suis rendu compte que c’était irrationnel, mais cela n’en a pas moins fait des ravages dans mon cœur et mon esprit.

Comme dans de la cire molle, les paroles blessantes ou négatives se gravent profondément dans le cerveau des enfants. Par exemple, quand des parents lancent à leur fils : « Si seulement tu travaillais mieux à l’école, comme ton frère ! », celui-ci conclut : « Je suis bête. Mes parents préfèrent mon frère », etc.

Nous grandissons tous avec des traumatismes, des blessures et des fausses croyances (à une plus ou moins grande échelle, bien entendu), et même lorsque nous devenons chrétiens, ces idées fausses peuvent encore hanter notre subconscient et nous laisser un indéfinissable sentiment de mal-être. 

Ces fausses croyances doivent donc être amenées à la lumière (grâce aux vérités de la Bible, et parfois avec l’aide d’un ami ou d’un thérapeute), car, comme l’a dit Jésus :

« La vérité vous rendra libres » Jean 8.32. Pour triompher des ténèbres, braquons sur toute notre existence le puissant projecteur de la vérité !

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