Retour à la maison

Retour à la maison

À chaque fois, c’est pareil : quand je pars en voyage, même si je découvre de merveilleux paysages et que je retrouve des êtres chers, le meilleur moment est toujours celui où je rentre chez moi. 

La voiture avale les kilomètres à toute vitesse et je vois avec délice les panneaux indicateurs défiler, tels des témoins silencieux : « Nancy, 250 km… Nancy, 150 km… Nancy, 25 km… » OUF, nous arrivons !

Notre vie ressemble à un grand voyage. Nous voyons avec consternation défiler nos années : « 50 ans… 60 ans… 75 ans… ». Nous souffrons de toutes sortes de maux dus au grand âge, et malgré notre foi, nous soupirons en observant chaque jour dans la glace les marques irrémédiables de la vieillesse.

Quelque part, nous sentons que nous n’avons pas été créés au départ pour souffrir, tomber malades, vieillir et mourir. Et pourtant…

Consolons-nous à la pensée que nous allons bientôt rentrer à la maison. Ce monde, tel un beau voyage, nous offre parfois des satisfactions, mais nous ne nous y sentons jamais tout à fait chez nous. Nous n’y sommes pas à notre aise ! Heureusement, nous irons bientôt dans notre véritable patrie. « [Dieu] essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car ce qui existait avant a disparu », nous révèle l’apôtre Jean dans Apocalypse 21.4

Comme le chante Gilbert Ringenbach :

« Je verrai ta face, Jésus par ta grâce,

Quand après la mort j’irai dans ton paradis,

Oui, que le temps passe, que mes jours s’effacent

Qu’importe, j’ai trouvé la vie ».

Quel précieux réconfort !

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1 commentaire
  • rozange Il y a 7 mois, 3 semaines

    Consolons-nous à la pensée que nous allons bientôt rentrer à la maison. Ce monde, tel un beau voyage, nous offre parfois des satisfactions, mais nous ne nous y sentons jamais tout à fait chez nous. Nous n’y sommes pas à notre aise ! Heureusement, nous irons bientôt dans notre véritable patrie. « [Dieu] essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car ce qui existait avant a disparu », nous révèle l’apôtre Jean dans (Apocalypse 21.4 )« Je verrai ta face, Jésus par ta grâce, Quand après la mort j’irai dans ton paradis Oui, que le temps passe, que mes jours s’effacent Qu’importe, j’ai trouvé la vie ». Amen!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!