Atteint d'un cancer de la prostate, je choisis de laisser Jésus me guérir

Atteint d'un cancer de la prostate, je choisis de laisser Jésus me guérir

 

En janvier 2018, je passe un bilan de santé globalement satisfaisant. A l’issue de l’entretien médical et vu mon âge, le médecin me conseille de faire un contrôle de ma prostate.

 

Bilan médical

L’échographie révèle la présence d’un nodule de 16 mm sur celle-ci et la biopsie confirme la présence de cellules cancéreuses sur la moitié des échantillons prélevés. Mon médecin généraliste me conseille d’aller consulter un urologue en vue de procéder à une intervention chirurgicale. Les conséquences vont se résumer comme suit :

  • ablation de l’organe

  • prise d’hormones sous forme médicamenteuse à vie

  • inconvénients post-opératoires gênants pouvant survenir (incontinence, perturbations sexuelles)

Le bilan n’est pas très enchanteur, mais je reste calme et confiant sachant que j’appartiens à un Dieu qui guérit

Je choisis de laisser Jésus me guérir

La première pensée qui me traverse l’esprit est la suivante : Dieu peut mieux faire. Le verset 8 du psaume 118 me revient à l’esprit : Il vaut mieux se réfugier en l’Eternel que de se confier en l’homme. J’ai déjà fait l’expérience d’une guérison divine (mystory.me/bernard), ce qui me conforte dans cette position, mais je souhaite quand-même placer quelques garde-fous avant de me lancer.

Je m’assure que je suis bien dans le plan de Dieu

J’en parle au responsable de notre cellule de quartier qui est aussi ancien à l’église pour avoir son avis. Nous prions pour que Dieu nous éclaire sur la démarche à suivre.

N’étant pas dans une forme spirituelle particulière, je suis néanmoins interpellé par le psaume 91. Ce psaume parle de la peste qui ne nous atteindra pas (aujourd’hui on parle plutôt de cancer), il parle d’anges qui nous gardent, de victoire sur le serpent et le scorpion (image du diable) pour se terminer avec une promesse de longue vie.

Curieusement, le dimanche suivant, le pasteur de l’église prêche sur le thème “Vivre les étapes de nos vies”. Il indique que le plan de Dieu n’est jamais direct et que pour aller de A à B Dieu nous fait souvent passer par A’ pour ne pas finir en D’ (lire déprime). Ce message m’interpelle et me fait comprendre qu’il vaut mieux prendre le chemin plus long avec Dieu que le chemin direct via la chirurgie.

Un autre frère m’encourage aussi à marcher par la foi.

Lorsque je me retrouve avec notre ancien une semaine plus tard, je suis dans une grande sérénité. Au vu de ce que je lui raconte, il me confirme que lui aussi voit tous les voyants au vert.

Son épouse m’impose les mains et ordonne à ce cancer de me quitter au nom de Jésus.

Ma démarche de foi

Je ne ressens rien, mais je reste dans une attitude de foi comme nous le recommande Jacques 5 : 14-15) : la prière de la foi sauvera le malade.

Dans mes prières quotidiennes, j’ai souvent prié le psaume 91 en le mettant à la 1ere personne et en remplaçant le mot peste par le mot cancer. J’ai également remercié JC d’avoir asséché ce nodule par son sang versé à la croix (marc 11:24). J’ai rappelé au diable venu pour tuer, dérober et détruire (Jean 10:10) qu’il était vaincu par Jésus, qui lui est venu afin de détruire les oeuvres du diable (1 Jean 3 : 8) et nous donner la vie en abondance.

Le résultat

Au mois de juin, l’IRM révèle que la tumeur à diminué de la moitié de sa taille. 

Je reste ferme et déterminé dans le combat et persévère dans ma démarche de foi.

Un contrôle effectué quelques mois plus tard en janvier 2019 révèle qu’il n’y a plus aucun nodule et que celui constaté un an plus tôt a complètement disparu. Mon médecin est bouche-bée. Il relit le rapport, le compare au rapport précédent et s’empresse de rechercher le compte-rendu de la biopsie. Il finit par m’affirmer : “Vous aviez un cancer de la prostate et maintenant il n’y a plus rien”. Je lui répond que j’ai compté sur l’intervention divine, mais il n’a pas réagi à mes propos.

Conclusion

Quelques jours plus tard, je lis un chapitre d’un livre intitulé “inébranlable” et l’auteure parle de la conquête de la terre promise par les Israélites. Le pays leur était promis par Dieu, mais il fallait néanmoins le conquérir. Je n’ai pus m’empêcher de faire un parallèle avec ce que je venais de vivre.

Nos victoires ressemblent à celles du peuple d’Israël. Nous avons plein de promesses dans la bible et Dieu nous a donné l’armure spirituelle qui nous permet d’entrer en possession de ses promesses : bouclier de la foi, épée de la parole … Ce sont justement de ces armes dont je m’étais servi.

Et vous, allez vous remporter des victoires avec les armes que Dieu vous donne ?

Je suis prêt à échanger avec vous sur le sujet si vous le souhaitez.

Bernard

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