Seule, seule, terriblement seule !

Seule, seule, terriblement seule !

Mon coeur et mon corps brûlants ont besoin de sa paix !

Parent seul ? Oui je suis parent seul, mais je suis aussi personne seule.
En plus d'avoir à assumer seule bien des choses de la vie quotidienne, je me retrouve aussi seule dans mon coeur, dans mon corps.

Après pas mal d'années de vie de couple, mon corps a vécu une véritable " torture ", et je pèse mes mots.
Le soir je me couchais souvent harcelée de désirs, mon corps traversait de véritables " crises de manque ". Le corps en boule, un coussin serré contre moi, je luttais, je pleurais, je souffrais.

Mon profond désir de respecter mes principes (pas de sexe hors mariage) et toutes les " recommandations " que je mettais avec, avaient bien forme de sagesse mais n'étaient d'aucune valeur pour maîtriser les passions de ma nature humaine dans ces moments là. " La chair rend la loi sans force " (Romains 8:3)

Céder aux tentations de trouver l'apaisement par des moyens peu glorieuse laisse un vide affectif et engendre une mauvaise estime de soi sans parler de la culpabilité.
Refouler mes désirs laisse mon esprit vagabonder à des fantasmes et à des expériences imaginaires.
Alors que faire ?
Le problème me semblant purement " humain " j'ai longtemps lutté avec mes seules forces " humaines ". Tant bien que mal, je gérais, j'assumais......

Et puis la Parole m'a parlé. Elle me disait : " Dieu pourvoira à tous vos besoins " (Philippiens 4:19), " Quand les justes crient, l'Eternel entend, et il les délivre de toutes leurs détresses " (Psaumes 34:18), et aussi " par votre union avec lui, vous êtes pleinement comblés " (Colossiens 2:10). Bref, " je peux te satisfaire " me disait Dieu ! Mais comment imaginer qu'il puisse le faire dans ce cas là ? " Je suis capable de faire pour toi plus que tu pourrais imaginer " (Ephésiens 3:20) me répondait-il.

Alors je lui ai abandonné ce fardeau là aussi.

Ce jour-là, j'ai senti ses bras pleins d'amour autour de moi, m'entourer, me serrer sur son coeur, et mon corps s'est apaisé. Il n'a pas été un " amant virtuel ", mais j'ai reçu ce soir là une conscience renouvelée de son amour pour moi.

Peu à peu, il m'a appris à " fixer mon coeur et mes pensées sur les choses d'en haut " (Colossiens 3:1à3) et depuis, sur ce plan là, " la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, garde mon coeur et mes pensées en Jésus Christ " (Philippiens 4:7).

Les pensées et désirs sexuels n'ont pas disparu mais je ne les laisse pas s'installer, et je veille à ne pas alimenter le " feu ".
Son aide et son soutien me permettent de tenir la promesse que je lui ai faite tout en gardant mon équilibre émotionnel.

Dans les moments plus difficiles, je me blottis dans ses bras, et " comme un berger porte un agneau, il me porte près de son coeur " (Esaïe 40:11)

Bon courage à toutes et tous.

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(Romains 1.16)

29 commentaires
  • philippe Boulet Il y a 7 années, 6 mois

    Bonjour, Oui c'est triste de voir que les sujets qui retiennent tant de personnes prisonniers dans la souffrance soit tabou. Pourquoi ces choses ne sont pas expliquées simplement en partant de ce que les Écritures en disent. Au commencement Dieu a créé Adam et Ève et il dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, (Genèse 1:28) On voit bien que le désir de Dieu est que l'homme se multiplie et quand Dieu à dit cela il a donné à l'homme et à la femme tous ce qui faut physiquement pour que cela se vivent. Et dans cet acte de multiplication Dieu y a mis le plaisir, car Dieu a tout mis sous le rapport du plaisir. Quand on mange cela produit un bien être, quand on dort ça nous fait du bien, quand on fait du sport on éprouve un bien être, quand on regarde les beautés de la création notre corps s'égaie, quand on va aux toilettes on éprouve un soulagement libérateur, etc … Et c'est naturellement que s'exprime en nous ces désirs. D'ailleurs, on ne se force pas quand on désir engendré. Tout est pur, mais le problème vient quand la religion de l'homme entre en scène et déclare de manière voilé que ces choses doivent rester cachées, taboue. L'homme ou la femme ont des désirs naturels venant du Créateur Lui-même, car pour qu'il y est multiplication il faut qu'il y est un acte sexuel. Dieu ayant pourvu en toute chose, donnant pour cela les organes sexuels et le plaisir pour l'engendrement. Mais la religion, pour on ne sait quelle raison, en vient à décrété que la relation entre un homme est une femme est une chose quelque peu malsaine sans que cela soit dit ouvertement. Or, cela ne sert à rien de vouloir aller contre nos désirs sexuels, car ils nous ont été donné au commencement, ils font partie de nous et sont là en vue de l'accomplissement de la volonté de Dieu, la multiplication. Ces désirs viennent alors que nous ne les recherchons pas forcément, cela fait partie intégrante de la vie qui nous anime. Ce sont des choses que nous ne métrisons pas et je plains celui ou celle qui essaye de vivre a contre sens, de vivre contre ce qui est naturel en lui, essayant de maitriser ces choses. Malheureusement on voit se qui se passe quand les hommes, comme les prêtres s'imposent de leur propre volonté de ne pas aller avec une femme. Il se passe qu'il y alors l'effet inverse qui arrive et la perversité qui leur font faire des actes horribles qui passent aux actualités. Il suffit qu'on s'impose un commandement disant : Ne fait pas.., tu ne dois pas, et à coup sur c'est l'inverse qui se produit et cela amplifie le phénomène. Comme l'apôtre Paul l'exprime en disant : Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus. Romains 7:9 Autrefois, sans la loi de commandement Paul vivait, puis quand le commandement vint il mourut, mourut à la foi. Car le commandement nous détourne de Dieu et nous fait nous regarder à nous même et à nos propres forces, pensant qu'il faut être agréable à Dieu et donc faire ce qu'il faut pour vivre une vie qui lui soit agréable. C'est le commandement d'obligation qui engendre en moi le contraire, la rébellion a ce qui est pourtant bon. 7 Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché ? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. Et quand on est sous le régime du commandement d'obligation, sous une loi qui nous oblige, alors le processus se décuple et il y a engendrement de toutes sortes de règles, d'ordonnance, de préceptes qui arrive dans ma vie, et que je n'avais pas avant. Mon état s'empire, alors que pourtant je désirs vivre à Dieu. 8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises; car sans loi le péché est mort. (Romains 7) Or Dieu ne nous a jamais rien reproché, ni demander connaissant très bien l'œuvre du péché en nous. Surtout pas que nous essayons de nous débattre avec nos propres force dans une situation ou nous sommes perdu d'avance. C'est l'échec assuré. D'ailleurs si Dieu nous demander quoi que ce soit ou s'il voulait que nous nous améliorions par nous même, Il n'aurait pas envoyé son Fils. Mais Il dit : Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le! (Matthieu 17:5) Dieu a pourvu en toute chose en offrant son Fils. Le Sauveur c'est Lui. Jésus signifie Sauveur. Pas un Sauveur de 5 minutes, mais un Sauveur en vue d'un sauvetage total. Il est notre substitue en tout point. Jésus a appelé des pécheurs. De ces hommes et femme qui souffrent de leur condition, de cette nature de péchés qui les écœurent et aspirent à retrouver cette vie pure et Il pourvoit en toutes chose. Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. Marc 2:17 Si Jésus en tant que médecin du cœur appel des malades, Il sait bien de quelle maladie nous sommes atteint et un Médecin pourvoit à la guérison de sa brebis. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. Jean 10:10 C'est en Lui que nous retrouvons cette Vie qui était au commencement. Par Jésus nous revenons au commencement. Il ne sert à rien de lutter contre notre nature charnel, car Jésus l'a mis a mort en sa chair à la croix. Ce n'est pas a nous de lutter contre nos plussions, contre le péché qui dégrade tout en nous, car c'est plus fort que nous comme le dit l'apôtre Paul. Romains 7: 14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. 15 Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. 16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. 18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j 'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. 19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. 20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. 21 Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. 22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; 23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. J'ai bien la volonté de faire la bien et de refuser le mal, mais je n'ai pas le pouvoir de faire le bien que je veux faire et de refuser le mal que je ne veux pas. mais je vois dans mes membres (en moi, dans la partie charnelle) une autre loi Il y a une loi en moi qui est plus forte, qui lutte contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché. Dieu sait bien ce que nous sommes et quel est la dégradation qu'a produite l'œuvre du péché en nous et nous demande de Lui faire confiance pour faire en nous une œuvre de réhabilitation totale par le don de son Fils. Philippe brebisphilippe@gmail.com Bonjour, Oui c'est triste de voir que les sujets qui retiennent tant de personnes prisonniers dans la souffrance soit tabou. Pourquoi ces choses ne sont pas expliquées simplement en partant de ce que les Écritures en disent. Au commencement Dieu a créé Adam et Ève et il dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, (Genèse 1:28) On voit bien que le désir de Dieu est que l'homme se multiplie et quand Dieu à dit cela il a donné à l'homme et à la femme tous ce qui faut physiquement pour que cela se vivent. Et dans cet acte de multiplication Dieu y a mis le plaisir, car Dieu a tout mis sous le rapport du plaisir. Quand on mange cela produit un bien être, quand on dort ça nous fait du bien, quand on fait du sport on éprouve un bien être, quand on regarde les beautés de la création notre corps s'égaie, quand on va aux toilettes on éprouve un soulagement libérateur, etc … Et c'est naturellement que s'exprime en nous ces désirs. D'ailleurs, on ne se force pas quand on désir engendré. Tout est pur, mais le problème vient quand la religion de l'homme entre en scène et déclare de manière voilé que ces choses doivent rester cachées, taboue. L'homme ou la femme ont des désirs naturels venant du Créateur Lui-même, car pour qu'il y est multiplication il faut qu'il y est un acte sexuel. Dieu ayant pourvu en toute chose, donnant pour cela les organes sexuels et le plaisir pour l'engendrement. Mais la religion, pour on ne sait quelle raison, en vient à décrété que la relation entre un homme est une femme est une chose quelque peu malsaine sans que cela soit dit ouvertement. Or, cela ne sert à rien de vouloir aller contre nos désirs sexuels, car ils nous ont été donné au commencement, ils font partie de nous et sont là en vue de l'accomplissement de la volonté de Dieu, la multiplication. Ces désirs viennent alors que nous ne les recherchons pas forcément, cela fait partie intégrante de la vie qui nous anime. Ce sont des choses que nous ne métrisons pas et je plains celui ou celle qui essaye de vivre a contre sens, de vivre contre ce qui est naturel en lui, essayant de maitriser ces choses. Malheureusement on voit se qui se passe quand les hommes, comme les prêtres s'imposent de leur propre volonté de ne pas aller avec une femme. Il se passe qu'il y alors l'effet inverse qui arrive et la perversité qui leur font faire des actes horribles qui passent aux actualités. Il suffit qu'on s'impose un commandement disant : Ne fait pas.., tu ne dois pas, et à coup sur c'est l'inverse qui se produit et cela amplifie le phénomène. Comme l'apôtre Paul l'exprime en disant : Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus. Romains 7:9 Autrefois, sans la loi de commandement Paul vivait, puis quand le commandement vint il mourut, mourut à la foi. Car le commandement nous détourne de Dieu et nous fait nous regarder à nous même et à nos propres forces, pensant qu'il faut être agréable à Dieu et donc faire ce qu'il faut pour vivre une vie qui lui soit agréable. C'est le commandement d'obligation qui engendre en moi le contraire, la rébellion a ce qui est pourtant bon. 7 Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché ? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. Et quand on est sous le régime du commandement d'obligation, sous une loi qui nous oblige, alors le processus se décuple et il y a engendrement de toutes sortes de règles, d'ordonnance, de préceptes qui arrive dans ma vie, et que je n'avais pas avant. Mon état s'empire, alors que pourtant je désirs vivre à Dieu. 8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises; car sans loi le péché est mort. (Romains 7) Or Dieu ne nous a jamais rien reproché, ni demander connaissant très bien l'œuvre du péché en nous. Surtout pas que nous essayons de nous débattre avec nos propres force dans une situation ou nous sommes perdu d'avance. C'est l'échec assuré. D'ailleurs si Dieu nous demander quoi que ce soit ou s'il voulait que nous nous améliorions par nous même, Il n'aurait pas envoyé son Fils. Mais Il dit : Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le! (Matthieu 17:5) Dieu a pourvu en toute chose en offrant son Fils. Le Sauveur c'est Lui. Jésus signifie Sauveur. Pas un Sauveur de 5 minutes, mais un Sauveur en vue d'un sauvetage total. Il est notre substitue en tout point. Jésus a appelé des pécheurs. De ces hommes et femme qui souffrent de leur condition, de cette nature de péchés qui les écœurent et aspirent à retrouver cette vie pure et Il pourvoit en toutes chose. Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. Marc 2:17 Si Jésus en tant que médecin du cœur appel des malades, Il sait bien de quelle maladie nous sommes atteint et un Médecin pourvoit à la guérison de sa brebis. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. Jean 10:10 C'est en Lui que nous retrouvons cette Vie qui était au commencement. Par Jésus nous revenons au commencement. Il ne sert à rien de lutter contre notre nature charnel, car Jésus l'a mis a mort en sa chair à la croix. Ce n'est pas a nous de lutter contre nos plussions, contre le péché qui dégrade tout en nous, car c'est plus fort que nous comme le dit l'apôtre Paul. Romains 7: 14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. 15 Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. 16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. 18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j 'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. 19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. 20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. 21 Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. 22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; 23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. J'ai bien la volonté de faire la bien et de refuser le mal, mais je n'ai pas le pouvoir de faire le bien que je veux faire et de refuser le mal que je ne veux pas. mais je vois dans mes membres (en moi, dans la partie charnelle) une autre loi Il y a une loi en moi qui est plus forte, qui lutte contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché. Dieu sait bien ce que nous sommes et quel est la dégradation qu'a produite l'œuvre du péché en nous et nous demande de Lui faire confiance pour faire en nous une œuvre de réhabilitation totale par le don de son Fils. Philippe brebisphilippe@gmail.com Bonjour, Oui c'est triste de voir que les sujets qui retiennent tant de personnes prisonniers dans la souffrance soit tabou. Pourquoi ces choses ne sont pas expliquées simplement en partant de ce que les Écritures en disent. Au commencement Dieu a créé Adam et Ève et il dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, (Genèse 1:28) On voit bien que le désir de Dieu est que l'homme se multiplie et quand Dieu à dit cela il a donné à l'homme et à la femme tous ce qui faut physiquement pour que cela se vivent. Et dans cet acte de multiplication Dieu y a mis le plaisir, car Dieu a tout mis sous le rapport du plaisir. Quand on mange cela produit un bien être, quand on dort ça nous fait du bien, quand on fait du sport on éprouve un bien être, quand on regarde les beautés de la création notre corps s'égaie, quand on va aux toilettes on éprouve un soulagement libérateur, etc … Et c'est naturellement que s'exprime en nous ces désirs. D'ailleurs, on ne se force pas quand on désir engendré. Tout est pur, mais le problème vient quand la religion de l'homme entre en scène et déclare de manière voilé que ces choses doivent rester cachées, taboue. L'homme ou la femme ont des désirs naturels venant du Créateur Lui-même, car pour qu'il y est multiplication il faut qu'il y est un acte sexuel. Dieu ayant pourvu en toute chose, donnant pour cela les organes sexuels et le plaisir pour l'engendrement. Mais la religion, pour on ne sait quelle raison, en vient à décrété que la relation entre un homme est une femme est une chose quelque peu malsaine sans que cela soit dit ouvertement. Or, cela ne sert à rien de vouloir aller contre nos désirs sexuels, car ils nous ont été donné au commencement, ils font partie de nous et sont là en vue de l'accomplissement de la volonté de Dieu, la multiplication. Ces désirs viennent alors que nous ne les recherchons pas forcément, cela fait partie intégrante de la vie qui nous anime. Ce sont des choses que nous ne métrisons pas et je plains celui ou celle qui essaye de vivre a contre sens, de vivre contre ce qui est naturel en lui, essayant de maitriser ces choses. Malheureusement on voit se qui se passe quand les hommes, comme les prêtres s'imposent de leur propre volonté de ne pas aller avec une femme. Il se passe qu'il y alors l'effet inverse qui arrive et la perversité qui leur font faire des actes horribles qui passent aux actualités. Il suffit qu'on s'impose un commandement disant : Ne fait pas.., tu ne dois pas, et à coup sur c'est l'inverse qui se produit et cela amplifie le phénomène. Comme l'apôtre Paul l'exprime en disant : Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus. Romains 7:9 Autrefois, sans la loi de commandement Paul vivait, puis quand le commandement vint il mourut, mourut à la foi. Car le commandement nous détourne de Dieu et nous fait nous regarder à nous même et à nos propres forces, pensant qu'il faut être agréable à Dieu et donc faire ce qu'il faut pour vivre une vie qui lui soit agréable. C'est le commandement d'obligation qui engendre en moi le contraire, la rébellion a ce qui est pourtant bon. 7 Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché ? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. Et quand on est sous le régime du commandement d'obligation, sous une loi qui nous oblige, alors le processus se décuple et il y a engendrement de toutes sortes de règles, d'ordonnance, de préceptes qui arrive dans ma vie, et que je n'avais pas avant. Mon état s'empire, alors que pourtant je désirs vivre à Dieu. 8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises; car sans loi le péché est mort. (Romains 7) Or Dieu ne nous a jamais rien reproché, ni demander connaissant très bien l'œuvre du péché en nous. Surtout pas que nous essayons de nous débattre avec nos propres force dans une situation ou nous sommes perdu d'avance. C'est l'échec assuré. D'ailleurs si Dieu nous demander quoi que ce soit ou s'il voulait que nous nous améliorions par nous même, Il n'aurait pas envoyé son Fils. Mais Il dit : Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le! (Matthieu 17:5) Dieu a pourvu en toute chose en offrant son Fils. Le Sauveur c'est Lui. Jésus signifie Sauveur. Pas un Sauveur de 5 minutes, mais un Sauveur en vue d'un sauvetage total. Il est notre substitue en tout point. Jésus a appelé des pécheurs. De ces hommes et femme qui souffrent de leur condition, de cette nature de péchés qui les écœurent et aspirent à retrouver cette vie pure et Il pourvoit en toutes chose. Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. Marc 2:17 Si Jésus en tant que médecin du cœur appel des malades, Il sait bien de quelle maladie nous sommes atteint et un Médecin pourvoit à la guérison de sa brebis. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. Jean 10:10 C'est en Lui que nous retrouvons cette Vie qui était au commencement. Par Jésus nous revenons au commencement. Il ne sert à rien de lutter contre notre nature charnel, car Jésus l'a mis a mort en sa chair à la croix. Ce n'est pas a nous de lutter contre nos plussions, contre le péché qui dégrade tout en nous, car c'est plus fort que nous comme le dit l'apôtre Paul. Romains 7: 14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. 15 Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. 16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. 18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j 'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. 19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. 20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. 21 Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. 22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; 23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. J'ai bien la volonté de faire la bien et de refuser le mal, mais je n'ai pas le pouvoir de faire le bien que je veux faire et de refuser le mal que je ne veux pas. mais je vois dans mes membres (en moi, dans la partie charnelle) une autre loi Il y a une loi en moi qui est plus forte, qui lutte contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché. Dieu sait bien ce que nous sommes et quel est la dégradation qu'a produite l'œuvre du péché en nous et nous demande de Lui faire confiance pour faire en nous une œuvre de réhabilitation totale par le don de son Fils. Philippe brebisphilippe@gmail.com Bonjour, Oui c'est triste de voir que les sujets qui retiennent tant de personnes prisonniers dans la souffrance soit tabou. Pourquoi ces choses ne sont pas expliquées simplement en partant de ce que les Écritures en disent. Au commencement Dieu a créé Adam et Ève et il dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, (Genèse 1:28) On voit bien que le désir de Dieu est que l'homme se multiplie et quand Dieu à dit cela il a donné à l'homme et à la femme tous ce qui faut physiquement pour que cela se vivent. Et dans cet acte de multiplication Dieu y a mis le plaisir, car Dieu a tout mis sous le rapport du plaisir. Quand on mange cela produit un bien être, quand on dort ça nous fait du bien, quand on fait du sport on éprouve un bien être, quand on regarde les beautés de la création notre corps s'égaie, quand on va aux toilettes on éprouve un soulagement libérateur, etc … Et c'est naturellement que s'exprime en nous ces désirs. D'ailleurs, on ne se force pas quand on désir engendré. Tout est pur, mais le problème vient quand la religion de l'homme entre en scène et déclare de manière voilé que ces choses doivent rester cachées, taboue. L'homme ou la femme ont des désirs naturels venant du Créateur Lui-même, car pour qu'il y est multiplication il faut qu'il y est un acte sexuel. Dieu ayant pourvu en toute chose, donnant pour cela les organes sexuels et le plaisir pour l'engendrement. Mais la religion, pour on ne sait quelle raison, en vient à décrété que la relation entre un homme est une femme est une chose quelque peu malsaine sans que cela soit dit ouvertement. Or, cela ne sert à rien de vouloir aller contre nos désirs sexuels, car ils nous ont été donné au commencement, ils font partie de nous et sont là en vue de l'accomplissement de la volonté de Dieu, la multiplication. Ces désirs viennent alors que nous ne les recherchons pas forcément, cela fait partie intégrante de la vie qui nous anime. Ce sont des choses que nous ne métrisons pas et je plains celui ou celle qui essaye de vivre a contre sens, de vivre contre ce qui est naturel en lui, essayant de maitriser ces choses. Malheureusement on voit se qui se passe quand les hommes, comme les prêtres s'imposent de leur propre volonté de ne pas aller avec une femme. Il se passe qu'il y alors l'effet inverse qui arrive et la perversité qui leur font faire des actes horribles qui passent aux actualités. Il suffit qu'on s'impose un commandement disant : Ne fait pas.., tu ne dois pas, et à coup sur c'est l'inverse qui se produit et cela amplifie le phénomène. Comme l'apôtre Paul l'exprime en disant : Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus. Romains 7:9 Autrefois, sans la loi de commandement Paul vivait, puis quand le commandement vint il mourut, mourut à la foi. Car le commandement nous détourne de Dieu et nous fait nous regarder à nous même et à nos propres forces, pensant qu'il faut être agréable à Dieu et donc faire ce qu'il faut pour vivre une vie qui lui soit agréable. C'est le commandement d'obligation qui engendre en moi le contraire, la rébellion a ce qui est pourtant bon. 7 Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché ? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. Et quand on est sous le régime du commandement d'obligation, sous une loi qui nous oblige, alors le processus se décuple et il y a engendrement de toutes sortes de règles, d'ordonnance, de préceptes qui arrive dans ma vie, et que je n'avais pas avant. Mon état s'empire, alors que pourtant je désirs vivre à Dieu. 8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises; car sans loi le péché est mort. (Romains 7) Or Dieu ne nous a jamais rien reproché, ni demander connaissant très bien l'œuvre du péché en nous. Surtout pas que nous essayons de nous débattre avec nos propres force dans une situation ou nous sommes perdu d'avance. C'est l'échec assuré. D'ailleurs si Dieu nous demander quoi que ce soit ou s'il voulait que nous nous améliorions par nous même, Il n'aurait pas envoyé son Fils. Mais Il dit : Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le! (Matthieu 17:5) Dieu a pourvu en toute chose en offrant son Fils. Le Sauveur c'est Lui. Jésus signifie Sauveur. Pas un Sauveur de 5 minutes, mais un Sauveur en vue d'un sauvetage total. Il est notre substitue en tout point. Jésus a appelé des pécheurs. De ces hommes et femme qui souffrent de leur condition, de cette nature de péchés qui les écœurent et aspirent à retrouver cette vie pure et Il pourvoit en toutes chose. Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. Marc 2:17 Si Jésus en tant que médecin du cœur appel des malades, Il sait bien de quelle maladie nous sommes atteint et un Médecin pourvoit à la guérison de sa brebis. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. Jean 10:10 C'est en Lui que nous retrouvons cette Vie qui était au commencement. Par Jésus nous revenons au commencement. Il ne sert à rien de lutter contre notre nature charnel, car Jésus l'a mis a mort en sa chair à la croix. Ce n'est pas a nous de lutter contre nos plussions, contre le péché qui dégrade tout en nous, car c'est plus fort que nous comme le dit l'apôtre Paul. Romains 7: 14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. 15 Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. 16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. 18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j 'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. 19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. 20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. 21 Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. 22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; 23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. J'ai bien la volonté de faire la bien et de refuser le mal, mais je n'ai pas le pouvoir de faire le bien que je veux faire et de refuser le mal que je ne veux pas. mais je vois dans mes membres (en moi, dans la partie charnelle) une autre loi Il y a une loi en moi qui est plus forte, qui lutte contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché. Dieu sait bien ce que nous sommes et quel est la dégradation qu'a produite l'œuvre du péché en nous et nous demande de Lui faire confiance pour faire en nous une œuvre de réhabilitation totale par le don de son Fils. Philippe brebisphilippe@gmail.com
  • chantleo Il y a 9 années, 5 mois

    Il y a des jours plus difficiles que d'autres, où l'on se demande "Jusqu'à quand cette situation va durer ?".
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