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Et si on parlait du Père Noël ?

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Et si on parlait du Père Noël ?

Origine de ce personnage légendaire

Le Père Noël serait né au IVè siècle. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un évêque turc riche et généreux, qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres. Il voyageait sur le dos d'un âne.

Dès le Moyen Âge, Saint Nicolas, devenu protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles, était représenté vêtu d'une cape carmin et arborant une longue barbe blanche. Les colons hollandais ont conservé cette couleur en emportant avec eux sa légende aux Etats-Unis, dans le courant du XIXe siècle.

Au fil des siècles, il s'est transformé en un vieux bonhomme au gros ventre qui travaille une nuit par an pour distribuer des jouets aux enfants partout sur la terre. Jouets qu'il a passé une année à fabriquer avec ses amis les lutins. Il voyage sur un traîneau volant tiré par des rennes et rentre dans les maisons par la cheminée. Même dans les pays où il n’y a pas d’hiver et même quand les maisons ou les appartements ne comportent pas de cheminées !

C'est l'histoire qu'on raconte aux jeunes enfants, qui dans certains pays se font même prendre en photo avec LE Père Noël. Même s'ils en perçoivent plusieurs dans la même journée... 

Vous admettrez avec moi qu'il y a beaucoup d'éléments invraisemblables dans toute cette histoire. 

Pour en revenir à son origine, ce personnage si décrié a des origines chrétiennes !

     - Elisabeth Dugas -

Faut-il "flinguer" le Père Noël ?

En plastique, le Père Noël grimpe aux balcons. Dans les publicités, il nous vante les produits les plus tendance. La dernière mode est de le projeter sous forme d'images animées contre les façades. Il vole. Chantre du consumérisme, voire porte-parole d'une marque connue de sodas, il est partout.... et tente de nous voler Noël.

A sa décharge, admettons que certains voient en lui une image du gentil grand-papa offrant cadeaux et rêves aux enfants. Pour eux, que serait Noël sans ce gros bonhomme joufflu à la longue barbe ?

Mais bon, Noël, c'est ça ?

Evitons de retomber dans la sombre période où l'on encourageait les exaltés à fracasser les statues des églises et à brûler les hérétiques. Se battre contre une dérive est une motivation. Lutter pour une juste cause en est une meilleure.

Faisons la part des choses : réunissons nos familles, offrons des cadeaux et rappelons que Jésus donne tout son sens à Noël, la fête de Dieu venu parmi nous. L'Evangile nous dit à son sujet :

" C'est moi qui suis la porte. Celui qui entre par moi sera sauvé : il pourra aller et venir librement, il trouvera de quoi se nourrir. Le voleur vient seulement pour voler, pour tuer et pour détruire. Moi, je suis venu afin que les hommes aient la vie, une vie abondante.  Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis." Jean 10.9-11

Nous avons là une bonne raison de faire la fête et de réaffirmer notre foi.

Et si l'on ressortait notre vieille crèche des cartons ? L'illustration d'un personnage bien réel peut parler. Ce symbole est important puisque dans certaines villes françaises on interdit de montrer une crèche dans les lieux officiels. La représentation d'un Noël qui a du sens est toujours d'actualité.

Diverses manifestations comme des concerts gospel ou des marchés de l'Avent fleurissent jusque dans les endroits les plus reculés. Avec l'aide et l'imagination du Saint-Esprit nous pouvons aller à contre-courant et y rappeler ce qu'est Noël, comme le font certaines Eglises.

Les cadeaux, c'est sympathique. N'oublions pas le plus grand et Celui qui nous l'a offert au prix de sa vie.

     - Laurent Weiss -

Beau et joyeux Noël !

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Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com

Retranscrit par les mains d’Elisabeth, ce récit rend la vie des siens dynamique et pétillante. Il nous fait passer des rires aux larmes, des concepts les plus rudimentaires à la philosophie de la vie...

L’ouvrage pourrait s’intituler carpe diem tant Elisabeth, malgré les difficultés traversées et communes à beaucoup d’entre nous, a su puiser de l’espoir dans sa foi, son goût de vivre et ses amis.

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