Jésus l’unique

Jésus l’unique

« Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami. »
Cantique des cantiques 5.16

 
Le Seigneur Jésus Christ était très beau dans sa modestie. Il était le seul qui avait le droit de choisir comment et où il pouvait naître dans ce monde, mais il a choisi de naître parmi les pauvres.
 
Combien il était humble et modeste quand il a dit:  « Je suis parmi vous comme celui qui sert ». Il a lavé les pieds de ses disciples. Injurié il ne répondait pas. « Il a été amené comme un agneau à la boucherie et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tonde, et il n’a pas ouvert sa bouche ».
 
Sa beauté apparaît magnifique dans son chemin avec les pécheurs. Il était bienveillant mais combien plus source de confiance quand Nicodème est venu à lui. Ce chef à la position reconnue n’est pas reparti avant de reconnaître son ignorance, ce qui a été la première étape dans le chemin du royaume. Il n’a pas entendu un seul mot sévère ni aucun terme blessant.
 
Suivez-le au puits de Jacob en plein midi et écoutez sa parole avec la femme samaritaine. Comment il lui a expliqué les vérités profondes avec patience et comment il l’a amenée avec douceur et amour à découvrir la maladie du pêché qui a détruit son âme.
 
Au milieu de ses souffrances sur la croix, il a écouté l’appel d’affliction du brigand. Comme les chefs victorieux retournent de leurs guerres de pays lointains en ramenant avec eux les prisonniers les plus importants, il suffisait au Seigneur Jésus de retourner au ciel avec l’âme du brigand meurtrier.
 
Oui, « toute sa personne est désirable ». Tous les aspects de la perfection étaient en lui en bonne harmonie et en juste équilibre. Sa douceur n’est pas mélangée avec de la faiblesse. Son courage n’est pas altéré par la dureté.
 
Contemplez-le devant le souverain sacrificateur, devant Pilate, devant Hérode.
 
Regardez-le couronné d’épines, frappé au visage, fouetté, méprisé, et, dans tout cela, il ne perd pas sa grandeur et sa majesté.
 
Je demande aux pécheurs qui ne sont pas sauvés jusqu’à présent de suivre le Seigneur jusqu’à la sortie de la porte de Jérusalem pour le voir cloué sur la croix, pour l’entendre demander au Père le pardon pour ses meurtriers et dire « c’est accompli ».
 
Que signifie tout cela ? Cela signifie que « Lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois » (1 Pierre 2.24). Et qui croit en lui a la vie éternelle… car il est mon sauveur et mon bien-aimé.
 

L’acceptes-tu comme ton sauveur et bien-aimé ?

 
Il est seul mon bien-aimé. Mort pour effacer mes péchés. Par son sang il a caché mes iniquités. Jésus m’a libéré.

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