C’est avec raison que notre civilisation s’inquiète de l’environnement qu’elle léguera aux générations futures.
A cause de l’homme, "la création… soumise à la vanité… soupire et souffre" (Romains 8.20-22). Nous martyrisons les cycles naturels, par intérêt ou par orgueil ou par mépris de l’écologie. Nous épuisons aveuglément la terre, l’eau, l’air, la flore, la faune… Nos sols sont saturés de nitrates. Nos rivières sont polluées. Nos mers deviennent d’horribles poubelles. Nos voitures comme nos usines, par leur rejet chaque année de quelque vingt milliards de tonnes de gaz carbonique, ont percé un trou dans la couche d’ozone. Des espèces tant végétales qu’animales disparaissent chaque jour, affirment les scientifiques ! Déjà, en certains lieux, le printemps est devenu silencieux ; bientôt, il ne sera plus qu’une solitude désertique !
Que restera-t-il de toutes les ressources naturelles de la planète pillée par celui qui en est le plus cruel prédateur, le prodigue de la création ?
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