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Dans la rue (suite)

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Dans la rue (suite)

Bonjour Mon ami(e),

L’une des choses qui fait peur à beaucoup de chrétiens, c’est d’aller parler de Jésus dans la rue. Autant les repas fraternels sont toujours un énorme succès, autant les actions d’évangélisation de rue n’en rencontrent aucun. Je ne crois pas que parler de Jésus dans la rue est un appel réservé au ministère d’évangéliste. Je crois plutôt que c’est l’appel de tous les chrétiens. Tous les chrétiens sont appelés à faire l’oeuvre d’un évangéliste et à réconcilier le monde avec Dieu, en partageant simplement leur foi. Nous sommes des témoins, et un témoin témoigne !

Je vous lance le défi de sortir spécialement dans la rue dans le seul but de parler de Jésus. Selon un sondage que j’ai fait auprès de centaines de chrétiens francophones du monde entier, 55% d’entre eux n’étaient jamais sortis dans la rue dans le seul but d’annoncer l’Évangile à quelqu’un. Faites-le cette semaine, prévoyez ne serait-ce qu’une heure pour le faire. Je suis certain que vous avez une heure de disponible cette semaine ! Samedi après-midi ? Dimanche juste après l’église ? Mardi juste après le travail ? À la pause du midi ? Démontrez à Dieu votre amour pour lui et pour sa Parole, et votre obéissance. Ne cherchez pas d’excuses en éteignant votre conscience. Dieu a déjà tout entendu de la part des chrétiens concernant les raisons pour lesquelles ils ne peuvent pas aller dans la rue parler de lui. Démontrez votre confiance en lui, votre confiance dans le Saint-Esprit.

Parfois je m’assois sur un banc et j’attends un peu, jusqu’à ce qu’une occasion se présente. Parfois je vais « au hasard » parler aux gens. Parfois j’utilise des circonstances particulières, comme quelqu’un qui a l’air perdu, ou qui boîte, ou un autre qui contemple la beauté du paysage. Il n’y a pas une seule façon de faire, il faut juste être dirigé par l’amour.

En parlant avec un jeune dans la rue, venu des États-Unis, il me raconta que son père était pasteur. J’imagine qu’il devait prier pour que Dieu mette des chrétiens sur sa route. Je l’exhortai à renoncer à sa vie et à vivre pour Dieu. Un autre jour, je parlai à un groupe de jeunes, dont l’un fut guéri d’une maladie qu’il traînait depuis son enfance. Un véritable miracle. Vous pouvez le faire, car cela ne vient pas de vous.

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