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Bonjour Mon ami(e),

Après avoir rencontré cette jeune femme (Dora), et ces deux jeunes hommes marocains (Amine et Nour), j’ai parlé à une famille, dont la maman avait l’air dépressive, et si malheureuse. Une triste famille. J’appris le lendemain que mon beau-frère lui aussi avait témoigné dans ce petit parc, quelques minutes plus tard, à un marocain, du nom de Nour !

Plus loin, j’ai vu un homme avec une croix en pendentif. Quel moyen facile pour parler de Jésus ! Je lui ai demandé, avec le sourire : « Cette croix est-elle une simple décoration, ou vous vivez en fonction de cette croix ? ». Il me dit qu’il était catholique, marié et des enfants. Bref, qu’il avait une vie rangée. Je l’ai encouragé à vivre pour Dieu et à ne pas se cacher derrière des oeuvres religieuses...

Je regagnai ma chaise longue et je vis Dora avec sa maman, installées juste à quelques mètres de nous. Elles me saluaient en souriant. Je les ai rejoint et j’ai découvert avec surprise le coeur ouvert de sa maman, Leïla. En quelques instants, la présence de Dieu était là sur elle, et les larmes coulaient de ses joues. Elle pria elle-même : « Jésus, vient me sauver… ». C’était si beau. Leurs maris arrivèrent. C’étaient des Tunisiens, dont les parents étaient en vacances dans la région. Je parlais de Jésus à cette famille avec la conviction que quelque chose de spécial était sur eux.

En repartant plus tard vers le parking, je vis mon beau-frère qui parlait avec un jeune homme du Seigneur, puis cette famille tunisienne qui était stationnée… juste à côté de ma voiture. J’avais emprunté la voiture de mon frère Anthony, et j’espérais qu’il ait des évangiles à l’intérieur afin de le leur donner. Youpi, il en avait dans son vide poche. J’y ai inscrit mon nom, mon numéro de téléphone et le nom de mon émission « Prières inspirées ».

Tout comme l’Éthiopien à qui Philippe a eu la grâce d’annoncer l’Évangile, je suis convaincu que Leïla est repartie avec le Saint-Esprit à Tunis, et qu’il s’occupera de mettre les bonnes personnes sur sa route pour faire grandir sa foi.

Jérémy Sourdril Se désabonner

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