La description de l’inconverti

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Bonjour Mon ami(e),

Nous avons vu hier que l’incroyant est livré à lui-même, s’abandonnant à ses instincts, imbu de lui-même et arrogant. Il se répand parfois en injures contre ce qu’il ne connaît pas, Dieu. Il trouve son plaisir à se livrer à la débauche en plein jour, le regard chargé d’adultère et d’un besoin insatiable de pécher. Parfois, il prend au piège les personnes mal affermies par ses discours (plusieurs incroyants m’ont déjà dit : « Lorsque tu grandiras, tu comprendras que Dieu n’existe pas ». Or, ma barbe a blanchi, et je sais qu’il vit). Il n’a plus rien à apprendre en ce qui concerne l’amour de l’argent.

Paul ajoutera ailleurs la description de ceux qui ne se sont pas souciés de connaître Dieu : « Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d’injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d’intelligence, de loyauté, d’affection naturelle, de miséricorde » (Romains 1:28-31). J’espère que vous ne vous êtes pas reconnus là ! Sinon, c’est que vous avez besoin de repentance.

Peu de prédicateurs osent décrire l’incroyant. On entend si peu de choses sur ce point. Pourtant, les apôtres ressentaient par le Saint-Esprit qu’ils devaient écrire et enseigner à ce sujet, afin de ne pas nous laisser abuser par des hommes manipulateurs et impies. Trop souvent j’ai parlé à des gens qui se cachaient derrière leur religion ou leurs bonnes oeuvres, pensant que tout ceci faisait d’eux des amis de Dieu. En réalité, ils refusaient de se convertir à Dieu et de déchirer leur coeur. Ils refusaient de se soumettre au Père des esprits pour avoir la vie. Dirons-nous à ces gens comme le ferait un médecin inconscient à un patient : « Avec tous ces exercices, vous êtes en très bonne santé. Tout ira bien ! », bien que cet homme soit tout proche de la mort ? Non, nous devrions leur dire : Sauvez-vous de cette génération perverse (Actes 2:40) !

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