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La résistance du pécheur au Saint-Esprit

Sommaire
La résistance du pécheur au Saint-Esprit

Bonjour Mon ami(e),

Le pécheur résiste au travail du Saint-Esprit dans sa vie. Charles Finney déclare qu’à bien des occasions, des gens étaient tellement saisis par le Saint-Esprit qu’ils pensaient qu’ils allaient mourir. Pourquoi ? Ils résistaient au Saint-Esprit. Il raconte aussi qu’il a vu de ses propres yeux, et à plusieurs reprises, un brave chrétien venir vers ce genre de personne et la rassurer, arrêtant ainsi le travail du Saint-Esprit. Le pécheur se relevait, à demi-rassuré, et repartait aussi triste qu’il était venu, mais la conviction avait disparu : on lui avait donné une fausse consolation, et cette personne était aussi perdue qu’elle l’était à son arrivée.

J’ai mis du temps à comprendre ce qu’était la conviction du Saint-Esprit. Je me souviens qu’après avoir témoigné à mon beau-père, le Saint-Esprit commença à le travailler. Mon père spirituel m’avait enseigné à ce sujet en m’expliquant que la conviction de péché est comme un fardeau pesant qui vient sur le pécheur, jusqu’à ce qu’il craque et succombe au travail du Saint-Esprit, délaissant ainsi son péché. Ce genre de fardeau peut demeurer sur quelqu’un pendant plusieurs semaines, puis, si le pécheur ne veut pas se repentir, fermant son coeur au travail de Dieu, la conviction de péché disparaîtra.

Alors que je lui donnai des nouvelles de mon beau-père environ trois semaines plus tard, il me dit que la période où une personne est sous cette conviction est le moment idéal pour le conduire à Christ, et qu’il ne fallait pas le manquer. Je rencontrai alors mon beau-père et je vis qu’il était fortement travaillé. Il avait eu une vision de la croix et il avait perdu sa « paix » intérieure devant sa condition spirituelle. Il pria avec moi, dans son garage, et fut glorieusement sauvé. Que serait-il arrivé si je l’avais encouragé à prier quelques semaines plus tôt la « prière du pécheur » ? Cela aurait créé une fausse espérance : « Me voilà chrétien », aurait-il pensé.

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