« Tire ! », le salut de mon frère de Jérémy Sourdril - Série texte - TopMessages

CAR JE N’AI PAS HONTE DE L’ÉVANGILE… !

Nous recevons d’innombrables témoignages de vies touchées et transformées par Dieu... C'est le Seigneur qui agit dans les vies et nous lui rendons toute la gloire ! Par votre don, vous permettez à des milliers de personnes de recevoir chaque jour l'espoir en Christ. Votre soutien est précieux pour l’ensemble de la francophonie !

Ensemble, nous faisons la différence. Merci du fond du cœur ! (si vous souhaitez en savoir plus, cliquez ici)

« Tire ! », le salut de mon frère

Sommaire

Bonjour Mon ami(e),

Quand Dieu donne une parole de connaissance, je n’ai pas besoin de me demander si elle est appropriée ou correcte. Dieu s’y connaît bien mieux que moi. Mon devoir est de libérer la flèche de l’arc et elle deviendra une « flèche de délivrance ». Seul l’Esprit de Dieu peut sonder les profondeurs de l’esprit de l’homme. Il ne se trompe pas. L’Esprit connaît l’histoire de chacun, ainsi que ses pensées les plus secrètes. Il n’est pas toujours facile pour nos pensées rationnelles de se contenter de tirer à travers la fenêtre ouverte de l’opportunité sans voir la cible véritable.

Cependant lorsque nous le faisons les résultats sont étonnants. Une des expériences les plus bouleversantes de ce genre que j’ai connue concerne mon frère. Nous avions été élevés ensemble par des parents pieux. Mais il ne voulait pas suivre Jésus. Quand nous sommes devenus adultes, sa carrière et sa vie étaient toutes tracées.

Le temps avait passé et je ne savais pas que sa femme l’avait quitté et que son meilleur ami était mort du cancer. Sa vie avait perdu toute signification. Alors, un soir, il fit un rêve. Il lui semblait qu’il marchait sur un pont très élevé lorsqu’il glissa et se sentit tomber dans le vide en criant. Puis il se réveilla trempé de sueur.

Plus tard, il déclara : « Pour la première fois de ma vie, j’ai eu le désir brûlant de prier Dieu, me souvenant d’un verset que j’avais étudié étant enfant : « Invoque-moi au jour de la détresse et je te délivrerai » (Psaumes 50:15). Je me mis à genoux et dis : Seigneur, tu sais que je ne sais même pas si tu existes, mais mon frère Reinhard est ton serviteur. Donne-moi un signe au travers de lui pour me prouver que tu es vivant ».

En cette fameuse nuit je me trouvais à 10 000 km de là en Afrique. Je ne savais rien de ses problèmes, ni du fait qu’il pensait mettre fin à sa vie, simplement parce qu’il y avait très peu de communication entre nous.

Jérémy Sourdril Se désabonner

Paramètres de lecture

CAR JE N’AI PAS HONTE DE L’ÉVANGILE… !

« Tire ! », le salut de mon frère